Le douze fait la grève
Pour la grève sur la prairie, ne pas dire les mots affaiblit mes zygomatiques et me fait bondir sur mon balcon de fanfreluches invisibles, fabriquer un poème qui ne nous ramollit pas savouré comme une rumeur qui trafique le soleil pour apporter un peu de renouveau à grignoter les fleurs de mars aux alentours des frimas de Pâques.
Quelle déception quand cette carapace de neige s’est confondue entre une coccinelle et une dinde.
Quel égarement à vouloir trouver de la plénitude à imiter les vendanges en ce début de printemps.